vendredi 21 octobre 2016

Joachim Cadenas & Florence Clauzel invités des Jeudis des Jeunes Aficionados Nîmois

✪✪Jeudi 28 octobre 2016 à partir de 19h30 capelado à 20h✪✪
✪ " La Course Camarguaise en route pour le renouveau ? " ✪


Avec la présence de Joachim Cadenas, vainqueur du Championnat de France & des AS, de la Cocarde d'Or et de la Palme d'Or 2016, et Florence Clauzel manadière (Manade Saint-Antoine) et trésoriere de la Fédération Française de la Course Camarguaise, les Jeudis des Jeunes Aficionados Nîmois 2016/2017 démarrent sur les chapeaux de roue !

La saison écoulée semble-t-il dans la dynamique de la restructuration de la FFCC dont Florence Clauzel est trésorière, a donné d’excellents moments d’aficion et de bouvine dans les arènes de Provence et du Languedoc, la cause ? Un homme, mais pas que, une nouvelle génération à la tête des AS. Joachim Cadenas a ainsi, clairement porté sur ses épaules le renouveau en piste de la Course Camarguaise. Ce droitier fougueux, courageux et à la classe indescriptible a triomphé partout où il s’est présenté entraînant une hausse non négligeable de l'affluence dans les arènes !

Nous vous offrirons ainsi pour ce nouvel entre-temporada des soirées uniques avec des invités de marque qui défendent avec passion et talent chacuns à leur façon notre passion pour les Taureaux qu'ils soient braves, Camargue ou Landais.

✪ ENTRÉE LIBRE ✪ ♪Vino, Tapas, y Bodega toute la soirée ♬
[Crédit photo Jean Mansuy]

★ Ⓣaureaux avec diffusions de Canal Plus Toros ★

VENEZ NOMBREUX !!!

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▬▬ PARTENAIRES ▬▬

★ ✩ LE TORIL D'ARTISTES ✩ ★

★ ✩ BODEGA COL Y TOROS ✩ ★

★ ✩ ENTRE 2 TAPAS ✩ ★

★ ✩ FRANCE BLEU GARD LOZERE ✩ ★

★ COORDINATION DES CLUBS TAURINS DE NÎMES ET DU GARD ★

✩ ★ LES JEUNES AFICIONADOS NÎMOIS : Promouvoir et défendre notre culture : LA CORRIDA & LA COURSE CAMARGUAISE auprès des jeunes nîmois ! ✩ ★

vendredi 7 octobre 2016

Pourquoi l’estrambord gagnera les Arènes de Nîmes dimanche !

Pourquoi l’Estrambord gagnera les Arènes de Nîmes dimanche et qu'il faudra y être.

Octobre 2015. A peine le temps de savourer l’exceptionnel quart d’heure de Grecco aux Arènes d’Arles que la Course Camarguaise sombre dans l’angoisse et la tristesse face à la situation dans laquelle l’équipe dirigeante de la Fédération Française de la Course Camarguaise l’a laissé. Un trou financier abyssal, une structure qui n’est plus en mesure d’assumer quoi que ce soit, et l’agrément du ministère des sports quasiment perdu. L’hiver sans biou est déjà long, mais s’imaginer une saison 2016 sans eux c’est un cauchemar.

Octobre 2016. A deux jours de la 65ème Finale du Trophée Taurin, le ciel est bleu et le soleil ressort après l’orage. Un an après la tempête, la Course Camarguaise est belle et bien vivante, et avec elle une nouvelle équipe à sa tête autour de Jacques Mailhan son Président. La tâche était dure, et on attendait avec espoir ce renouveau nécessaire des institutions fédérales. On peut dire que le gros du travail est fait en coulisse, quid donc de ce qu’il s’est passé en piste en 2016?

C’est tout là l’intérêt de nous retrouver aux arènes ce dimanche pour la 65ème finale du Trophée des AS. La saison écoulée semble-t-il dans la dynamique de la restructuration de la FFCC, a donné d’excellents moments d’aficion et de bouvine dans les arènes de Provence et du Languedoc, la cause ? Un homme, mais pas que, une nouvelle génération à la tête des AS.

Joachim Cadenas tout d’abord, a clairement porté sur ses épaules le renouveau en piste de la Course Camarguaise. Ce droitier fougueux, courageux et à la classe indescriptible a triomphé partout où il s’est présenté, il n’a jamais séché face aux meilleurs cocardiers de la saison, et on ne peut que se remémorer ses prestations face à Mignon le Biou d’Or, le terrible Jupiter, ou les brillants et sérieux Pourpier et Scipion. Il réalise pour sa 1ère saison aux AS le triplé si difficile à réaliser (seuls 3 raseteurs l’avaient réalisé jusque-là : Chomel deux fois, Castro et Allouani une fois) de la Cocarde d’Or, la Palme d’Or et le Trophée des AS.

Parce que le renouveau n’arrive jamais seul, une nouvelle génération de talentueux raseteurs a pris les commandes du Trophée des AS, à la plus grande satisfaction des afeciouna et des organisateurs qui ont globalement pu enregistrer des affluences en hausse dans leurs arènes partout où l'effort minimum a été fait sur la qualité du plateau. Ainsi sur les 10 premiers de la saison dernière aux AS, 5 n’y sont plus en 2016 remplacés par l’arrivée des nouveaux AS du crochet. Ziko Katif, Maxime Favier, Jeremy Aliaga, Ilias Benafitou, Medhi Belgourari, Youssef Zekraoui ils amènent tous en piste chacun avec ses qualités un vent d’air frais et une passion qui font du bien à la Course Camarguaise. Associés à des raseteurs d’expériences comme Bastien Four encore dans le top 5 cette année, ou encore Auzolle, Poujol, Ouffe, le résultat en piste s’en fait ressentir et la mayonnaise prend bien plus souvent.

Comment parler de Course Camarguaise sans évoquer ce demi-Dieu que représente le Cocardier pour nous autres afeciouna ? Vous savez, ces Biou que l'on statufie chez nous et que l'on glorifie pour leur bravoure, leur intelligence et pour cette Camargue qu'il honorent si bien. Dans une saison marquée les rapides blessures de taureaux de premier plan (Ratis et Grecco), les interrogations étaient importantes. Mais malgré ces absences, beaucoup de cocardiers de premier plan ont tenu leur place et la dragée haute aux jeunes AS jamais avares de rasets et de rythme. Ainsi Mignon de Cuillé a une nouvelle fois élevé ses prestations avec sa science du placement et de l’anticipation qu’on lui connait et remporte un deuxième biou d’or consécutif. Jupiter de Laurent a fait preuve d’une explosivité et d’une race hors du commun à vous en donner la chair de poule, il vient en juste récompense du travail précieux pour retrouver leur sang d’origine de la famille Laurent. Scipion et Pourpier les deux pensionnaires de Saumade ont eux, sublimé leur royale en offrant des quarts d’heure intenses, mélange de sérieux et d’explosivité qui n’ont pas laissé indifférents les afeciouna. Ça tombe d’ailleurs bien, ces 4 taureaux constituent la colonne vertébrale et la 2ème partie de cette grande finale de dimanche, associés à Ulmet de Blanc auteur d’une saison sérieuse, Banaru du Rhône et Boer de l’Occitane.

Assurément donc, dimanche, tout Nîmois, Gardois, Languedocien, Provençal, Afeciouna qui se respecte devra être aux Arènes pour savourer avec plaisir, ce doux parfum de renouveau qui plane sur la Course Camarguaise.


Jupiter de Laurent lors de son explosif quart d'heure de la Féria de Nîmes 2016

CC.

mardi 20 septembre 2016

Vendanges 2016, le véritable Brindis de Nîmes se jouait aux Arènes !

Vendanges 2016, le véritable Brindis de Nîmes se jouait aux Arènes !

Cela faisait quelques années désormais que je n’écrivais plus de petites chroniques via le blog des Jeunes Aficionados Nîmois. Il est loin le temps de mes études où je profitais de mes cours pour me laisser aller à mettre par écrit mes réflexions et mes questionnements sur la tauromachie, cette passion qui coule dans mes veines depuis toujours. La vie active a pris le dessus, et avec cela un rythme qui ne me laisse plus beaucoup de temps pour prendre ma plume. Mais ce matin, je me suis levé avec l’envie d’écrire contagieuse. Mais écrire quoi ? Que pasa hombre me direz-vous ! Et bien, se pasa que, c’était la Féria des Vendanges à Nîmes ces trois derniers jours. Et quelle Féria, je me suis levé heureux et avec l’envie de le faire partager !

Vous vous rappelez sûrement du naufrage taurin de la dernière Pentecôte, et bien moi aussi, et il m’avait marqué profondément. Marqué parce que quand la tauromachie se casse la gueule, c’est notre aficion qui en prend en coup. Alors on a râlé, on a critiqué, et on même proposé de tous nous voir pour que l’aficion s’unisse et que nous réfléchissions à ce que Pentecôte 2016 ne se reproduise plus. L’été a passé, la table ronde n’est jamais arrivée, mais il semble que le positionnement des pisse-vinaigre de la tauromachie, ait quand même été pris en compte malgré les postures médiatiques. Un solo de Sébastien Castella devant les exigeants et redoutés Adolfo Martin, 3 encastes différentes, un élevage Français (première depuis 2012 !), et de l’expérience mêlée à de la jeunesse dans les toreros choisis, tout était fait pour redorer le blason des Arènes Nîmoises.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’au bout de ces trois jours de Féria, on a le sourire ! Simon Casas était pour ces Vendanges la personne désignée pour le désormais traditionnel « Brindis à la ville de Nîmes » à Carré d’Art les Avocats du Diable Vauvert. Mais à vrai dire, le véritable « Brindis » à la ville et à son aficion pisse-vinaigre de l’empresa a eu lieu aux Arènes. Un résultat taurin qui a fait honneur aux Arènes de Nîmes par la diversité des choix proposés en terme d’encastes, comme en terme de succès des toreros au premier rang duquel l’immense Juan Bautista. Et bien sûr à ne pas oublier le « No Hay Billettes » une fois de plus pour le Tendido Jeunes où la jeunesse locale se presse à chaque Corrida !

La novillada d’ouverture a parfaitement lancé la Féria, les toros de la famille Vangelisti ont confirmé que le travail de nos éleveurs Français méritait d’être beaucoup plus souvent mis en avant dans nos arènes (pourquoi ne pas réserver la novillada des férias à une ganadéria Française ?). Puis les jeunes novilleros Manolo Vanegas, Andy Younes & Tibo Garcia ont également été au rendez-vous chacun dans son style.

Samedi matin, malgré des toros du Puerto de San Lorenzo décevants et accidentés, Juan Bautista a offert sa première belle prestation du week-end et même si la Porte des Consuls a été bradée par la Présidence, le maestro Arlésien a confirmé qu’il n’était pas présent deux fois durant cette Féria pour rien.

Samedi après-midi dans des arènes quasi pleines et devant les caméras de télévision, Castella s’est mué en guerrier pour le défi de sa carrière, s’enfermer face à six Adolfo. Si le résultat final est mitigé du fait des gros échecs à l’épée du bittérois, la profondeur de ses séries gauchères à son second toro, et l’implication qu’il a eu à chacun de ses exigeants Adolfo Martin excellemment bien présentés, impose le respect de l’aficion et la reconnaissance du geste du maestro Français.

Dimanche matin, ce fut la consécration d’un Juan Bautista au sommet de son art. Dans une corrida intéressante et complète de Victoriano del Rio (prix du lot de la Féria des JAN mais on y reviendra) dont l’apogée est le 5ème de cette course « Soleares », nous sommes passé de la frayeur et la peur lors du terrible accrochage de Thomas Joubert à son 1er toro qui le laissera inanimé sur le sable de la piste, à la douceur et le temple de … Thomas Joubert revenu tel un phénix combattre le dernier toro de la corrida pour nous raconter sa tauromachie, faite de douceur et de cette mélancolie qui fait de lui un belluaire. Au milieu de cette belle matinée, un homme : Juan Bautista. Une rencontre avec un grand toro « Soleares » à la charge vibrante, et la profondeur du maestro d’Arles qui réalise la plus belle saison de sa carrière et qui sous le Concerto d’Aranjuez, nous livrera une partition au combien remplie d’émotion, des larmes de plaisir ont même coulé sur les joues de certains aficionados. Du bonheur brut comme seule la tauromachie peut nous offrir.

Alors que nous étions d’ores et déjà rassasiés de cette Féria, dimanche après-midi est venu comme la cerise sur le gâteau (pour ceux qui étaient aux arènes car on ne peut que déplorer une si faible entrée) avec un lot exquis de Nunez del Cuvillo. Pas de noblesse bête et niaise chez ces toros, mais une remarquable noblesse pour les trois premiers, associés à une bravoure plus exigeante pour les toreros du jour pour les trois derniers. Face à eux, Alberto Lopez Simon s’il coupe 1 oreille dans la tarde et n’a pas vraiment déçu, il n’a pas (à mon sens) assez mis de profondeur dans son toreo face à d’excellents adversaires qui ont bu ses muletazos à ne plus s’arrêter de charger, il montre ses difficultés de collocation du moment. Alejandro Talavante a proposé lui face à son excellent premier toro de la douceur et de la profondeur et montré sa bonne forme actuelle, il a été plus discret à son second. Enfin, le jeune Mexicain Luis David Adame a fait étalage de cette tauromachie Sud-Américaine qui porte tant de joie et d’alegria, avec une diversité au capote excellente, et une envie débordante. Une alternative réussie pour lui.

En conclusion, et même si certaines choses restent perfectibles (deux présidences pas au niveau, et encore des efforts à faire sur le trapio général des lots), voilà donc comment, en mettant quelques mots sur trois jours d’aficion, j’espère avoir pu vous faire partager ce positivisme taurin avec lequel l’aficion locale sort de cette Féria. C’est ça tout le mystère de la tauromachie, capable de nous faire passer l’immense déception de Pentecôte à la belle satisfaction des Vendanges, et c’est tant mieux ainsi !

CC.


lundi 22 septembre 2014

Bilan du crû 2014 des Vendanges nîmoises

BILAN VENDANGES 2014 à Nîmes

La corrida est chose sérieuse.
Au delà de la rencontre magnifiée entre l'homme et le Toro,
au delà de la beauté du cadre taurin,
au delà des plus beaux paso doble joués,
elle reste un combat entre un homme face au mythique et mystique Toro. De ce combat naît la domination, de cette domination naissent les plus belles faenas.

Quand cette dimension disparaît, c'est les valeurs de la tauromachie que l'on perd.
La dimension de combat durant cette Féria était donc absente. La faute aux Toros essentiellement.

La cuvée des vendanges 2014 était une cuvée unique, un seul cépage en fait, celui de Domecq. Cette cuvée était fade, sans gueule, sans caractère.
Alors dans ces cas là, vous pouvez avoir les meilleurs décanteurs du moment, et décanter tant que vous pouvez, si c’est mauvais, c’est mauvais.


Une plus grande diversité des cépages, adaptée à tous les types d’aficionados aurait peut être permis un meilleur résultat final. Les Fuente Ymbro ont déçu, ils n’ont tenu que le temps de la pique pour s’éteindre totalement dans la foulée.
Les toros d’El Torero bien que charpentés et très bien présentés n’avait pas de fond mis à part l’important 4ème et dernier toro d’Escribano. Les toros de Jandilla, Daniel Ruiz ou Zalduendo ont tous montré une inquiétante faiblesse, et manquant de race.
On retiendra tout de même le bon 5ème de Jandilla lors du solo de Perera, le grand exemplaire de Zalduendo sorti en 3ème position le dimanche matin complet dans tous les tercios et montrant une bravoure exemplaire en étant blessé à la patte. Ou encore le 1er Toro de Victoriano del Rio d’El Juli le samedi matin, bien que discret à la pique faisant preuve d’une belle alégria tout au long de sa course.

Côté Toreros, bien difficile donc de briller sans l’élément numéro un de la Corrida… Alors il a fallu s’en remettre à la croisée miraculeuse d’un bon Toro qu’Escribano, El Juli, Perera, ou Manzanares ont su ne pas laissé passer. Ou sur des gestes de toreo purs et sincères comme pour les passes de capote temple et magiques de Morante sur son dernier toro, et les détails de classe et le relâchement de Finito de Cordoba à son second toro.

Alors certes au bout il y a la Porte des Consuls d’El Juli et Perera, et les 2 oreilles de Manzanares et autant de moments intéressants qu’il ne faut pas oublier. Mais sur 37 Toros qui ont foulé la piste nîmoise, ne trouver à ressortir que seulement 4 d’entre eux permet de relativiser quelque peu la portée de tout cela.

Ce n’est pas une critique acerbe de la Féria des Vendanges 2014, c’est juste le constat que certaines ganadérias aujourd’hui engagées ne sont plus capables de fournir du bétail brave et de qualité et que cela s’en fait ressentir sur les gradins. Quand on privilégie la quantité de toros vendus, à la qualité de ses toros, le retour de bâton peut être dur.
A méditer, et vivement la féria 2015, avec de la découverte taurine et pour tous les goûts!

(Ici DAX avec Miralto un grand toro bravo de Pedraza de Yeltes, origine El Pilar donc Domecq...)

lundi 21 juillet 2014

Féria des Vendanges 2014, les Cartels!

Programme complet de la Féria des Vendanges nîmoise 2014 :

Mercredi 17 septembre

18 heures : Course camarguaise, comptant pour le trophée des As. Entrée générale 12€.
Molière de Cuille
Dilun de Vinuesa
Sylverado de St Gabriel
Mignon de Cuille
Garlaban de Ricard
Chamboa de Bon
Vacares de Ricard

raseteurs : Katif, Belgourari, Bruschet, Allouani, Four, Auzolle...

Jeudi 18 septembre

17 h 30 : Novillada avec les novillos de Fuente Ymbro pour Borja Jiménez, Josè Garrido et Alvaro Lorenzo

Vendredi 19 septembre

17 h 30 : Corrida avec les toros d’El Torero pour Manuel Escribano, Jiménez Fortes et Juan Leal

Samedi 20 septembre


11 h 30 : Corrida mixte avec trois toros d’Angel Sanchez y Sanchez pour Pablo Hermoso de Mendoza (à cheval). Trois toros de Victoriano Del Rio pour El Juli.

17 h 30 : Corrida avec les six toros de Jandilla pour Miguel Angel Perera

Dimanche 21 septembre

11 h 30 : Corrida avec les toros de Zalduendo pour Finito de Cordoba, Morante de la Puebla et Josè Maria Manzanares.

17 h 30 : Corrida avec les toros de Daniel Ruiz pour Juan Bautista, Alejandro Talavante (unique corrida de la saison en France) et Daniel Luque.